Peugeot 205 GTI 1,6L

Peugeot 205 GTI 1,6L

Sacrée Peugeot 205 ! Sacré Numéro pour Peugeot qui va tout miser sur elle et ne le regrettera pas ! C'est bien simple, elle va sauver l'entreprise avec un succès que même ses concepteurs n'espéraient pas aussi grand.

Référence220205
Année1984
Km au compteur252300
Conduiteà droite
Carte griseNormal
Nombre de places assises4
Nombre de cylindres4
Cylindrée1600cc
CarburantSP98
CV Din105
CV Fiscaux8
BoiteManuel 5
Couleur carrosserieBlanc
Couleur intérieurRouge
Pneumatiques15% usure
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Véritable volonté de Peugeot de « copier » la VW Golf 1, une version sportive GTI est prévue pour le projet M24, alias la future Peugeot 205. Avec une stratégie commerciale étudiée, un engagement sportif au plus haut niveau mais aussi accessible au plus grand nombre (groupe B, Rallye Raid, formules de promotion), et surtout des GTI performantes et homogènes en perpétuelles évolutions, la 205 GTI va rapidement détrôner la Golf GTI qui s’embourgeoise pour son deuxième acte. De 105 ch en 1984, la 205 GTI ira jusqu’à 130 ch sur les plus puissantes et se déclinera en multiples versions pour coller au mieux à la clientèle (Rallye, CTI, Gentry…). La petite lionne va se tailler la part du lion et devenir LA GTI de référence. Aujourd’hui encore, 25 ans après sa sortie, la 205 GTI s’attire la sympathie de tous et connaît un nouvel engouement auprès des amateurs…

1984 : 205 GTI, LE BON DEPART.
Le 1er mars 1984, Peugeot commercialise la 205 GTI 1.6 105 ch. Avec sa présentation spécifique, uniquement disponible en variante 3 portes, elle séduit immédiatement le public. A ses côtés une Golf GTI est devenue triste en présentation et chiche en équipements. Alors que la teutonne a des jantes en tôle, la 205 adopte de série des jantes alu de 14 pouces dont le voile de jante s’inspire de celles de la Turbo 16. Elargisseurs d’ailes en plastique, baguettes et pare-chocs avec liseré rouge, logos  » 1.6  » et  » GTI  » sur les montants de custode, phares additionnels dans le bouclier avant, assiette abaissée… déjà à l’arrêt la petite bombe de Sochaux en jette et roule les mécaniques. L’habitacle n’est pas en reste avec un combiné d’instruments complet pour ravir les sportifs (tachymètre, compte-tours, jauge à carburant, température d’eau, température d’huile…), sièges baquets en tissus et, surtout, la fameuse moquette rouge qui fit tant impression. Ses trains roulants spécifiques, notamment le train avant triangulé qu’elle est la seule à a voir dans la gamme, et son amortissement de haut niveau annoncent la couleur et lui donnent une redoutable homogénéité au volant. Avec 880 kilos, son moteur XU 1,6 litres de 105 ch doté d’une injection offre des performances déjà alléchantes pour l’époque. Freins à disques ventilés à l’avant mais tambours à l’arrière, Peugeot réalisait alors le sans faute ou presque et la presse spécialisée était dithyrambique. Comme on les comprend… 

Annonce à caractère descriptif sans engagement contractuel