Mercedes SLC 350 VENDUE

Mercedes SLC 350

Dérivant du roadster SL R107, le coupé SLC reste bien plus abordable tout en offrant un confort et une habitabilité supérieurs. Et il est plus rare : c’est le moment de se l’offrir, avant que sa cote ne grimpe trop.

Référence220203
Année1976
Km au compteur112053
Conduiteà droite
Carte griseNormal
Nombre de places assises4
Nombre de cylindres8
Cylindrée3499cc
CarburantSP98
CV Din200
CV Fiscaux20
BoiteAutomatique 4
Couleur carrosserieMarron
Couleur intérieurCuir Cognac
Pneumatiques50% usure
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Pourquoi la Mercedes-Benz SLC C107 est-elle collectionnable ?

Incarnation du haut de gamme Mercedes des années 70, la SLC rappelle ce qu’étaient les productions de Stuttgart à l’époque : des autos conçues avec énormément de soin, très sérieusement fabriquées et sobrement présentées. Ça a bien changé. Performants, sûrs et confortables, les coupés SLC sont d’excellentes montures pour voyager loin dans une ambiance seventies inimitable.

En mars 1971, Mercedes étonne tout le monde en lançant son nouveau roadster SL. Succédant à la mythique Pagode, il s’en démarque totalement par son design, qui annonce celui des productions de Stuttgart pour les dix ans à venir.

C’est que l’allemande bénéficie d’une sécurité passive très sérieusement étudiée, déjà en ce qui concerne la structure. Elle se pare de zones à déformation programmée, dont l’idée revient à Bela Barényi, un ingénieur austro-hongrois qui en a déposé le brevet en 1937. Engagé chez Mercedes en 1939 en tant que directeur des recherches avancées, il en fait profiter les modèles de la marque dès 1959, et la SL R107 bénéficie des dernières recherches du constructeur en la matière.

Baptisé SLC (et codé C107), ce coupé apparaît six mois après la SL, au salon de Paris 1971, sa commercialisation intervenant début 1972. Techniquement très proche de la SL, la SLC se distingue évidemment par son toit fixe, mais aussi par son empattement allongé de 36 cm. Pourquoi ? Pour dégager suffisamment de place aux passagers arrière. Le coupé se signale aussi par ses vitres de custode comportant des persiennes.

Sous le capot, pas de surprise, le V8 3,5 l 200 ch du roadster est reconduit et peut toujours, cas unique pour un 8-cylindres Mercedes, s’atteler à une boîte manuelle, comportant 4 vitesses. Évidemment, une automatique, elle aussi à 4 vitesses, est disponible.

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